Mes Poémes

12 sept. 2008

Le visage de l’âme: mon amie

Elle ne retourna jamais à la ferme; à la mer; à son pays; à son peuple…
Définitivement lui, il à peur de la mort alors il a préféré lire et réfléchir autour du sens de la justice, de la vie, de la révolution...
Elle avait choisit depuis son enfance sa meilleure amie: son âme qui l’accompagnera pendant tout le parcours de son voyage.
Attention - « partez avec précaution!»…
Tu sais:« tu peux compter sur moi, je serai toujours là, ici; chez moi!» lui a dit
Mon cher ami- «tout le temps je serai accompagné» répondra-t-elle…
La règle d’or est de toujours respecter la culture par principe universel.
Il commence à réfléchir en même temps donc il parlait sans se rendre compte.
Il viendra la chercher un de ses jours, par contre elle ne sera plus là,
Car elle avait décidé longtemps de partir en voyage à la recherche de son destin.
Il restera toujours chez lui car sa vocation révolutionnaire ne le laisserait pas partir plus loin.
De suite elle va choisir deux mots avec lesquelles elle lui racontera ses expériences:
Le mot code en langue française me rappelle la boite noire et ronde dans laquelle j’avais choisi en secret de garder la collection de monnaies dans ma chambre depuis mon enfance dont je peux sentir encore l’odeur du chocolat chaud, de plus j’entends encore le son qu’ils produisent comme si c’était hier.
Tandis qu’ el código formulé en castellan me renvoie à l’époque de mes ancêtres celui qui a était conçue pour communiquer, s’organiser, bref pour survivre aux attaques d’autrui.
Je voudrais garder dans ma mémoire leur code secret en langue mapudungun, celui de la culture mapuche car je suis sûr, en tout cas, le codage en secret est une véritable langue qui se manifeste de façon naturelle pour transmettre l’information de générations en générations.
Je constate que les mots étrangers ont différents traduction pour moi selon la saison: en été le mot merci formulé en français me fait plutôt songer à ma mère, Ruth, qui aimait jouer la guitare quand elle était jeune. Elle chantait des chansons typiques du folklore chilien en castellan tandis que j’avais entendu sa voix, sa mélodie… j’aurais toujours voulu entendre une langue étrangère: douce, légère, agréable, délicat…
Dans sa version castillane (gracias) il me restitue l’image de ma grande mère, Noemí,
Que je voyais souvent en train de cuisiner les meilleures recettes, je me souviens des saveurs et odeurs de sa cuisine criolla puisque c’était moi la seule possible assistante du chef de cuisine à l’époque.
C’est appréciable, il me semble que: dar las gracias, dire merci, say thanks, dankeschen, muito obrigada, etc.
Sont les mots le plus importants pour montrer le respect aux autres dans n’importe quelle langue, système ou suite de symboles linguistiques.
Aujourd’hui je vais essayer de reproduire ce mot autant de fois si nécessaire; ici où ailleurs qu’importe la saison ou le lieu géographique cependant que
Je serai toujours chez moi: un seul visage celui de mon âme perpétuellement en été…
Enfin toutes les deux garderont se origines dans un ensemble jusqu’à la fin.

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