Mes Poémes

15 oct. 2010

My Website

Si vous voulais savoir encore plus sur mon parcours professionnelle. Ou bien, vous voulais prendre contact avec moi!!

Je suis heureuse de vous proposer mon site Web & Website & Sitio Web.

Voici mon Website:



Bon Websurfing !!

Cordialement,
Master EUROMIME
Mlle. Patricia CERDA

12 sept. 2008

ABC

Mon ABC je vais le dediée à Khmer...

K
Kif-kif
C’est une expression qu’on utilise en France dans le langage familier qui veut dire «pareil» ou «la même chose» alors que moi je la trouve super jolie! Encore une fois, cette belle langue m’offre une nouvelle surprise! Un mot assez simple, assez mélodieux, assez facile à retenir en tant qu’étrangère: hum! Elle m’invite à voyager dans un tableau, peut-être celui de la pratique de la langue pour mieux communiquer. Voilà! Je vois des étoiles, des paysages, divers motifs de figures, de sculptures qui donnent vie à la ville qui représenterait l’illustre pas de l’histoire sur les traces souterraines de l’homme, ce dernier transformé en petit enfant qui doit faire face à sa mère pour pouvoir se faire comprendre. Bref, toute une collection d’images sur le tableau de cet hexagone, un jeu de mémoire pour savoir se situer et survivre dans ce rêve qui n’est plus un rêve. Il me semble, parfois, être dans un cimetière de trésors qui se retrouvent tout le temps, mais qu’autrui ne voit pas car eux sont tellement habitués à tell paysage. Fin, eux paraissent des gens handicapés pour pouvoir développer encore plus loin leurs envies de rêver. Je devine: peut-être, les autres d’un coup ont décidé de tourner la page chaque jour! Pour oublier le passé et vivre l’instant présent et encore, leur mémoire serait la seule route à suivre, mais qui fait du bruit ? Aïe! Ça fait mal… Elle tape à chaque fois plus fort dans la mesure du possible pour mettre au silence une «cloche géante» qui sonne à l’infini pendant tous les arrêts, tous les sens et toutes les formes d’une telle œuvre d’art. Tout un rêve aux yeux des étrangers qui sont «on the other side»


H
Humour
C’est vrai que le sens de l’humour, selon la langue, n’est pas la même chose! Par exemple, celui des Anglais avec «Mr. Been». Voilà, pour sourire, il paraît qu’il faut souffrir pour les «British»… tout en noir ! Mais en même temps, il nous donne un sentiment jubilatoire qui nous fait nous sentir détendus dans un lit de roses aromatiques voire exotiques. D’un autre côté, le sens de l’humour français, je l’entends comme un message indéfini. Bof! Il faut prendre au moins une demi-heure pour arriver à comprendre le sujet qui cause le «rire». On commence à regarder autrui avec une expression simulée! Eh, notre visage est super contracté, on essaie de rire, mais ce n’est pas naturel : tout rouge, dans le sombre de la figure, le signe de l’interrogation. Tout au long d’une pièce humoristique, on commence à regarder les autres pour trouver quelqu’un avec la même expression sur sa figure. Enfin, quand les regards se rencontrent, on «exploite de rire » mais de ne pas pouvoir «sourire» de la blague qui a déjà dépassé plusieurs fois la vélocité de la lumière…Plaf! Welcome the tourist, la bienvenue, mi casa es tu casa !



M

Monde
Dans ce monde, «le chef d’orchestre» est le sujet dessiné par le peintre! Celui-ci est doté de parties mélodiques qui donnent la forme à sa figure toujours magique avec l’air de connaître l’inconnu car la vie dans ce espace libertaire est comme un mauvais tour de magie, encore pire qu’un jeu d’illusions, de sorcellerie : un monde de rêves où nos amours s’égarent dans un mensonge qui vient et qui part. Je me permets de dire que ce Monsieur où cette Demoiselle est un mythe voyageur entre le passé et le futur, encore, a pu créer une sorte de solidarité légendaire entre « tous pour une » où bien une pour tous les musiciens qui font partie de l’amour pour le rythme, la valeur de la musique, et toujours la reconnaissance de la vraie parole dans les paroisses musicaux, par exemple : le piano, la flûte, les violons, la batterie, la guitare, etc. c’est ainsi comme tous composent l’orchestre du «Painting Repainting». Lorsque l’ambition détruit tout le bonheur dans cette réalité parallèle entre la tradition et l’innovation, entre l’ancien et la nouvelle révolte des sons, chansons voire rythmes de vie. Bref, ce mythe est capable de la reconstruire dans un seul coup d’œil de son harmonieux fragile et doux. Une telle exécution mène le soleil à briller pour toi! Juste pour te faire plaisir, pour te faire sourire…Voilà, devenir heureuse à n’importe quel moment… toujours dans ce monde !
E
Éducation

Être à l’étranger, c’est traiter la détresse de l’étranger avec tendresse qui vient du cœur tout en douceur, voilà!
Apprendre à l’étranger, c’est vaincre les paradigmes dans une langue pour en reconstruire d’autres dans lesquels la motivation de l’apprenant parfois exposée aux regards très exigeants des enseignants devient toute une histoire des actes et de mots d’une nouvelle révolte qu’on récolte pas à pas pendant l’apprentissage.
Apprendre le français, c’est un défi choisi depuis longtemps pour faire plaisir plutôt à l’intention de l’inconscient qui est devenu à l’heure actuelle la volonté. C’est rare, même bizarre, comme la passion de collectionner des oeuvres d’art fausses!
Apprendre le français, c’est en fait étrange pour un étranger qui a envie de voyager. C’est découvrir le monde dans la beauté de l’art pour achever des objets dénommés souvenirs, des simples pièces fausses semblables au regard d’un vrai collectionneur d’oeuvres d’art fausses. Tout un métier qui permet d’avoir un autre regard car pour lui «la falsification exacte d’une oeuvre d’art est un art respectable» comme par hasard, le fait d’apprendre une autre langue : l’être devient un faux de sa propre langue en jouant une autre pièce. Il suffit de se laisser glisser entre la douceur des bouquets de glace et ainsi se sentir content d’apprendre la nouvelle palabre, encore une fois, il faut comprendre aux enfants, il faut faire rimer la tradition du système éducatif.
Parler le français, c’est juste utiliser la mémoire pour laisser faire le savoir faire car il n’y a pas une saison dans laquelle la chaleur se transformera en stupeur.
Être en France, c’est vivre mon rêve en vrai.
R
Réalité
Oh ciel! Quel avenir ! La réalité est faite de hasard. Tout a un sens involontaire d’être. Même cet abécédaire que je suis en train de faire je vais le dédier à la «langue khmer» parce que, grâce au hasard, j’ai eu le bonheur de tomber sur ce mot alors inconnu à mes sens, qui sait? Pourquoi pas une chance pour connaître dans l’absolu une belle façon de s’entendre. Peut être, parce que je voulais chanter une chanson qui exprime la passion de vivre un espace à deux dans un seule réalité, une façon de comprendre des histoires de vies, de partager mon côté fragile dans un rendez-vous: un café sur la place après le déjeuner; un thé parce qu’il fait froid ; un petit moment de calme…enfin j’attendais tout ça! La belle collections des moments que j’habite encore je sens comme un regard qui se pose sur moi, je choisis qui me va aussi de me dévoiler à la terre entière, je préfère me sauver en préservant mon univers tout au long de mon passage dans cette réalité comme une vie parallèle, voilà ! On se dit que pourtant il en a fallu du courage pour refaire le sourire, le numéro cent …finalement j’aurais bien aimé!...Oh ciel!

«Khmer»C’est la langue de la population qui habite le Cambodge selon le dictionnaire Le Robert, bien que, pour moi, il s’agisse de ne pas laisser mourir l’espoir de l’avenir de la balade improvisée produite par la grande marée qui garde le peuple du Cambodge et lui donner encore des forces pour aller encore plus loin jusqu’à l’éternité…

A la recherche de la mémoire perdue…


Elle était une pianiste avant même sa naissance car pendant son développement dans le ventre materne elle avait toujours entendue la musique du Bach, Mozart et Francis Lai, seulement le son du piano avait resté dans son mémoire à long terme, c'est-à-dire jusqu’à l’heure dans lequel elle avait trouvé la sortie de l’obscur vers la lumière que l’attendait dans un monde colorée et pour elle surtout mélodique.
A l’âge de 5 ans elle décidait son chemin comme « chef d’orchestre » tout un défi, on dirait un métier normalement pas pour des filles comme la tradition le dites, mais bien, elle avait faites déjà son choix et pour n’est pas oublier sa mémoire elle avait un petit cahier dans lequel elle a tout enregistré, si, si, son grand peur restait de perdre sa mémoire, voilà ! Même depuis tout petite.
Encore à l’âge de 25 ans, elle commençait sa propre recherche pour trouver des explications logiques sur le mécanisme de transmission de la mémoire. Pour elle, l’énigme à résoudre c’était la tendance de l’homme à tout oublier, c'est-à-dire l’oublie restait sa meilleure ennemie à faire face !
Si, si, également elle décidait de ne pas vieillir parce que un muet (golondrina) ne faites pas l’été elle avait dites à autrui, elle avait voulu de ne pas perdre de la force neuronal, alors elle s’oblige à faire chaque jour des exercices de mémoire pour toujours maintenir en bon état son cerveau. Par exemple : elle pédale contre sa propre colère, elle n’aime pas l’agressivité et la violence, elle mène de cette façon son propre combat contre un possible maladie car elle ne veut pas passer ces derniers jours à l’abris de sa propre déchéance. Non, non, absolument pas ! Elle ne se laisse pas abattre, alors il parait que ses pensées se bousculent dans sa mémoire toujours fragile face au pas du temps implacable.
Les années qui passent assez rapides dehors les fenêtres de l’âme, et voilà on arrive à l’âge de son 80 ième Anniversaire, à cette époque on dirait qu’elle exerce la profession de retraité de chef d’orchestre, par contre, en fait, elle viens d’avoir un accident au cerveau mais oui, on l’appelle le phénomène de l’inflammation cérébral, lors nous sommes devant à une situation délicat car c’est là le moment entre la vraie lute de la mémoire au défi de l’âge dans sa vie.
Mon Dieu ! Maintenant nous sommes tous consacrées à la recherche de la mémoire perdue, donc où se trouvent tous ses souvenirs ? Quelles sont les plus importants souvenirs qui restent dans sa mémoire ? Qui est le coupable de telle catastrophe ? L’hypo campo, la transmission de l’énergie des cellules synaptiques qui ne veulent plus travailler, qui font la grève express pour nous faire comprendre de son existence assez important ! Nous voudrions aller vers le stockage de tout l’info complexe dans l’univers du cerveau, alors tu est où dopamine ? Et toi sérotonine ? Alors je vais vous trouver pour sauver la mémoire perdue ! Mais non ! Le principe du réductionnisme n’est peut pas être plus fort que la force de vivre !
Bref, elle semblait en tranquillité à l’hôpital en état du coma, bien gardée par des docteurs et sous l’effet des beaucoup des médecines…Oh ! Quel malheur ! Elle est malade! Mais en même temps quel bonheur ! Elle est encore vivante…voilà la contradiction d’autrui ! Mais qu’est qui se passe sur elle ? Elle est consciente où pas de vouloir vivre encore ? Où bien : c’est tout à fait la volonté de son corps qui décide pour elle ? Où se trouvent ces dernières mélodies et chansons au rythme toujours du piano ? En faites il y a que son cœur qui battre encore ! Oui, beaucoup des questions à se poser dans cette situation… toujours à la recherche de la mémoire perdue, et bien qu’on trouve, enfin, son petit cahier de notes le seule énoncé lisible avait été écrit en langue étranger « love means never heaving to say i’m sorry until the eternity»…c’est tout, on retrouve le sens à sa vie sur un phrase voilà !.

D’abord G ensuite A

Mon Autobiographie...

D’abord c’est la Graphie ensuite c’est l’Auto

Oui, je suis certaine de la phrase que je viens d’écrire pour le dire à autrui.




D’abord: La Graphie
Pourquoi?
Parce qu’à mon avis il faut construire le parcours pour obtenir la Graphie dans toutes les vies.
Parce qu’il faut dire et être juste.
Parce que dans le parcours de ma vie pour construire ma propre G-R-A-P-H-I-E
Je ne sais pas encore où je suis, peut être j’ai souvent été en G où je voudrais préférer me situé en P.
Bref, je n’ai jamais rêve de faire réalité un vraie rêve dans le parcours de ma vie
C’est comme essayer d’aller assez loin vers E.

Ensuite: L’auto
Pourquoi?
Parce qu’à mon avis il faut soutenir la nature fondamentale de l’auto dans toutes les vies.
Parce qu’il faut penser à soi et la signification du savoir être pour savoir faire.
Parce que dans le parcours de ma vie pour construire ma propre A- U-T-O
J’avais choisit de vivre infinies aventures où des expériences de vies se rencontrent
Pour apprendre à vivre avec le respect à autrui, avec la conviction de mon existence dans ce monde
Finalement: Je me retrouve toujours en train de réfléchir autour de l’O-T-U-A?

Le personnage 33: L’étranger qui a le passé pour cible, c’est étrange

Au début, il connaissait la lumière de ça vie autour d’un pays assez mystérieux aux yeux d’autrui. Oh! C’est très étrange: «On est tous l’étranger de l’autre» c’est la pensée d’Albert Camus. Ce P33 a connu depuis sa naissance l’expatriation involontaire, l’intensité de la force de l’histoire marquée par le hasard, parfois la sentence divine sur lui. En conséquence, pour pouvoir survivre dans un milieu quelque part inconnu, il a dû marcher sur plusieurs identités dans son propre désert.
Le pas de sa vie qui traversait devant sa figure : chaque matin était comme les autres, le soleil et la nuit dans l’absolu, le seule fait qu’on a pu constater c’était la force de la volonté du P33, parce que un bon jour, le circule de la normalité sera interrompu à cause d’un nouveau voyage à l’inconnu. Mais , il va partir de chez lui, en fait, son pays d’origine était décrit comme «tout pays inconnu dans le monde entier» dans lequel avait vécu longtemps la détresse de l’étranger gardé en secret comme une blessure profonde. On a constaté aussi la présence des quelques gens avec l’envie de tout réinventer à leur façon de vivre pour s’installer dans son pays comme des pirates, des voleurs, des menteurs, des violeurs, des tueurs. Bref, l’ambition les avait tous rendus fous d’un seul coup comme le dernier soupir des Pères aux souffles coupés… nein! rien! never! nunca!... Oh! Jamais!...De l’extérieur, on apercevait un comportement normal presque doux, typique de la haute bourgeoisie de l’époque. De l’intérieur, on essayait de voir par la fenêtre des âmes, mais on ne trouvait que des cendres d’un être déjà vaincu par le pouvoir, la possession, le seul but d’obtenir la gloire à travers la conquête! Oui! Un groupe des êtres complètement perdus dans la tragédie de laisser tomber leur propre voix pour suivre une autre : la voix sublime, méritée, héritée, cultivée, implicite, meurtrie, Aphrodite et universel- la voix de son Roi!- Voilà!...
Et pourtant son pays caché dans son îlot de glace se déguise en sable…bien sûr un des plus riches! Parce que dans son pays d’origine, ses ancêtres ont appris à vivre à travers la chasse aux crocodiles, des anciennes races d’ennemis sacrés qu’ont eu le courage de faire face à l’être humain «face to face»!...
Les trésors de P33 étaient : le plaisir de partager, de s’attabler, de faire honneur à leur famille, à sa Mère et son Père, pour défendre toujours sa voix. Bref, l’harmonie d’être au sein de la famille tout juste pour mieux vivre ensemble. Tous pour une, on entend une seule voix en train de chanter la chanson de joie de la vie qui jubile!...
Je continue: tous les bonheurs qu’avait connus P33 étaient partout, même le nom de son peuple signifiait «les orphelins» en langue étranger. Ainsi « 33 » signifiait «le guru» pour l’ensemble de la tribu. Ils avaient inventé sa propre signification car le nom de son peuple signifiait enfin et définitivement «les élus» dans leur propre langage inexploré par autrui! Quel son bizarre, extravagant, même terrifiant! Ses ancêtres avaient tout traduit «en codes exprès» pour maintenir le cercle de la virtualité, pour maintenir l’héritage en opposition à la modernité qui devient une menace en présence des étrangers!...
On dirait que son peuple d’origine refuse n’importe quelle manière «étranger» C’est étrange ! Eux veulent témoigner à travers leur culture, leur langue, leur couleur, leurs enfants, leur sang, leur capacité à vivre longtemps, alors le meilleur exemple: le P33. Pour mieux comprendre, on aurait dit que c’était un peuple qui a pu trouver la fonte de la vie éternelle, de l’élixir de la jeûneuse!...
Oh! Le P33 avait l’habitude de se poser des questions par rapport à la cause de mort de son Père car on subit l’histoire : c’était à la recherche de l’Oasis quand son père avait disparu au milieu de la tourmente de vente dans le désert de glace, pardon! De sable dur et gelé… Euh! Pas sûr! Cela n’était que la version connue par les villageois car lui-même- le P33- avait retrouvé après une trentaine d’années pendant un voyage de tourisme à l’étranger juste par le hasard : le guide de l’expédition, même le traducteur official du pays, eh voilà ! C’était son oncle qu’avait parcouru son destin à l’étranger car il avait disparu d’un coup pendant le contretemps. Bien sûr, sa démarche intuitive d’avoir des sentiments à l’inverse, lui avait sauvé sa vie évaporée par l’obligation de se refaire à l’étranger! Parce que, en fait son oncle avait été exilé de son propre pays à cause de sa nature, de son discours fort, direct et franc, son sens bizarre de l’humour, voire de la justice. Alors, à l’époque, il avait gentiment été invité à continuer sa vie dans un pays très éloigné, très mystérieux et très perdu quelque part en Asie qui profane une vie bouddhiste…C’était lors de cette belle et heureuse rencontre de sang que le P33 enfin, va tout comprendre! Car un grand secret de famille sera exprimé! Son oncle était là, le seul témoin du décès de son Père! Lui a pu entendre la dernière volonté de son Père dans un dernier souffle…
Oh! Bizarre quand les circonstances contradictoires de la vie provoquent le rendez-vous de la même racine dans un lieu sacré!Tout un peuple guidé par le Dalaï Lama, nommé le Leader spirituel des âmes pures qui cherchent la paix en liberté!... Encore, à l’heure actuelle ce peuple voudrait obtenir sa propre autonomie dans un pays nommée La Chine. Il paraît que sa façon de vivre est basée sur une forte doctrine bouddhiste! Rien autour des montagnes, des paysages assez riches et vastes, on retrouve le vert et le bleu vers le nord ; et le rouge et le jeune vers le sur. Cette merveille n’est pas encore explorée par les pieds de l’étranger! Encore une fois et toujours, on dirait que ce lieu sacré garde le secret de l’essence de la nature pure!...
Bref, «Bring the family at home» c’était la consigne du P33, il aurait voulu réunir à toute sa famille dans son pays d’origine pour se retrouver dans des nouveaux espaces, en conséquence, son devoir hérité de ne pas laisser ses arrières dehors, dans le secret…
C’est étrange!...même les animaux sont sacrés parce qu’ils sont une partie importante de la nature, de la terre, de la vie! Encore les crocodiles sont nos amis! Comment agir alors ? Nos amis nous apprennent à mieux vivre dans le milieu hostile du paradis de sable, du paradis de nomades, du paradis des richesses des familles qui gardent en héritages leurs mythes, leur religion, leurs valeurs, définitivement leur savoir-vivre en communauté villageoise avec autant des jolis paysages en bleu. A l’heure actuel, les espèces d’animaux ne sont plus les mêmes parce que la nature a changé pour se protéger de l’installation et du débarquement des prédateurs!...Fin, il faut faire rimer une petit dernier fois la passion de l’existence du passé du P33 : «L’étranger qui a le passé pour cible: C’est étrange!

Le visage de l’âme: mon amie

Elle ne retourna jamais à la ferme; à la mer; à son pays; à son peuple…
Définitivement lui, il à peur de la mort alors il a préféré lire et réfléchir autour du sens de la justice, de la vie, de la révolution...
Elle avait choisit depuis son enfance sa meilleure amie: son âme qui l’accompagnera pendant tout le parcours de son voyage.
Attention - « partez avec précaution!»…
Tu sais:« tu peux compter sur moi, je serai toujours là, ici; chez moi!» lui a dit
Mon cher ami- «tout le temps je serai accompagné» répondra-t-elle…
La règle d’or est de toujours respecter la culture par principe universel.
Il commence à réfléchir en même temps donc il parlait sans se rendre compte.
Il viendra la chercher un de ses jours, par contre elle ne sera plus là,
Car elle avait décidé longtemps de partir en voyage à la recherche de son destin.
Il restera toujours chez lui car sa vocation révolutionnaire ne le laisserait pas partir plus loin.
De suite elle va choisir deux mots avec lesquelles elle lui racontera ses expériences:
Le mot code en langue française me rappelle la boite noire et ronde dans laquelle j’avais choisi en secret de garder la collection de monnaies dans ma chambre depuis mon enfance dont je peux sentir encore l’odeur du chocolat chaud, de plus j’entends encore le son qu’ils produisent comme si c’était hier.
Tandis qu’ el código formulé en castellan me renvoie à l’époque de mes ancêtres celui qui a était conçue pour communiquer, s’organiser, bref pour survivre aux attaques d’autrui.
Je voudrais garder dans ma mémoire leur code secret en langue mapudungun, celui de la culture mapuche car je suis sûr, en tout cas, le codage en secret est une véritable langue qui se manifeste de façon naturelle pour transmettre l’information de générations en générations.
Je constate que les mots étrangers ont différents traduction pour moi selon la saison: en été le mot merci formulé en français me fait plutôt songer à ma mère, Ruth, qui aimait jouer la guitare quand elle était jeune. Elle chantait des chansons typiques du folklore chilien en castellan tandis que j’avais entendu sa voix, sa mélodie… j’aurais toujours voulu entendre une langue étrangère: douce, légère, agréable, délicat…
Dans sa version castillane (gracias) il me restitue l’image de ma grande mère, Noemí,
Que je voyais souvent en train de cuisiner les meilleures recettes, je me souviens des saveurs et odeurs de sa cuisine criolla puisque c’était moi la seule possible assistante du chef de cuisine à l’époque.
C’est appréciable, il me semble que: dar las gracias, dire merci, say thanks, dankeschen, muito obrigada, etc.
Sont les mots le plus importants pour montrer le respect aux autres dans n’importe quelle langue, système ou suite de symboles linguistiques.
Aujourd’hui je vais essayer de reproduire ce mot autant de fois si nécessaire; ici où ailleurs qu’importe la saison ou le lieu géographique cependant que
Je serai toujours chez moi: un seul visage celui de mon âme perpétuellement en été…
Enfin toutes les deux garderont se origines dans un ensemble jusqu’à la fin.

Mon Pays… trois couleurs: Je, tu, ils


Mon pays, si c’était une chanson ce serait une mélodie de joie capable de transmettre le message de liberté, prospérité, bonheur pendant des générations qu’ont pu rester dans la mémoire collective du peuple chilien.

Mon pays, si devrai être mesuré ce serai très vaste voire large dans lequel on pourrait écrire à la main des millions d’histories de vies dans toute la longueur de sa figure depuis le grand nord jusqu’au le pole sud.

Lui, il s’appelle Chili en langue française; lui, il s’appelle Chile en langue castellan et en langue anglaise depuis je ne sais pas combien de temps exactement mais il est assez jeune, développé et un exemple de système démocratique à l’heure actuelle dirigé par une femme oui, lui il a su comment avoir choisi sa propre mère: Michel Bachelet alors un sin fin des qualités par rapport à autrui qui lui donnent sa conjugaison des couleurs distinctive: le bleu, le rouge et le blanc.
Mais moi je préférais lui parler dans le langage d’origine, oui c’était la culture mapuche qui avait parlé le langage mapudungun par ailleurs avant l’arrivée des frères et sœurs des autres continents, bref la traduction peut être sera: Chili signifie le lieu dans lequel la terre est fini, finito!, the end!
Enfin tout a commencé encore une fois au fait je, tu, ils viennent d’arriver encore une fois…l’histoire se répète comme la mélodie de sa chanson de joie!
Oui, lui il est assez large il traverse le temps à travers le ciel, il marche sur la montagne vers la mer du pacifique
Mais lui il est capable d’aller plus loin jusqu’à la fin du cône sud
Oui, le Chili est assez coloré, diversifié dans sa longueur donc on trouve le désert d’Atacama dans le Grand Nord
Oui, dans le Sud on trouve le nord le Grand nord
Le nord n’est pas un rêve c’est une réalité
On trouvée plein des villes fantômes à l’heure actuelle !
De la mer à la montagne
Oui, la mer : le bleu son propre bleu
La mer, le bleu, le pacifique assez riche pour nourrir au peuple d’origine jusqu’à ces jours
En même temps ce ciel, lui il est bleu, assez clair pour nous montrer l’immensité de l’espace comme le reflet de la nature…
Mon pays, si c’était un animal ce serait un caméléon qui habite dans la montagne lui il pourrait s’adapter facilement au changement climatique
Oui, la cordillère des Andes elle est la grande barrière en même temps la protection naturel de la géographique entre frères.
Oui, la grande muraille naturelle qui par ailleurs était difficile à survivre pour la traverser depuis le rouge se transforme en bleu d’un coup!
Le caméléon lui il habite en silence, guidée par le vent; c’est dans le ciel qu’il trouve la lumière, c’est dans les geysers qu’il trouve la chaleur
Oui il y a le vapeur oui des volcans en éruption la lave qui consomme la vie qui peut transformer le blanc a travers le rouge tout en noire ou bien en bleu
Oui, le bleu, le rouge et le blanc

Mon pays, si c’était un sentiment ce serait la générosité en blanc en bleu et en rouge: la passion, je, tu, ils… Tous on s’merveille de se sentir dans l’immensité de la générosité, la solidarité
Oui c’est juste pour vivre la richesse de partager au sein de la famille une seule expression de vie, de joie, de couleur… oui, encore une fois l’histoire se répète comme la mélodie de sa chanson de joie!
Mon pays, si c’était un point cardinal ce serrait le sud dans lequel on trouve le grand nord
Oui c’est juste: on arrive au sud mais dans le nord de tout au sud est cela exactement donc on trouve le Grand Nord: le Désert d’Atacama
Oui il y a le blanc, le bleu et le rouge encore une fois
Lui, il est assez généreuse qui est capable de tout nous donner de façon spontanée qui nous éblouie la vie
Oui on trouve tout le bonheur à travers le blanc mais dans ce cas le environnement est froid moins dégrées toute l’année dans les glaciers de pole sud
Oui des montagnes de froid et de stupeur!
Quand même écoutez! Il y a seulement le vent qui souffle encore une fois on dirait qu’il chante une chanson
La chanson qui a était chanté depuis des siècles, la chanson de la culture d’Atacama, la chanson de la culture du peuple de la terre de feu
Oui, le bleu, le rouge et le blanc dans l’altitude, la latitude, l’aptitude, la désertitude
Oui à 2600 mètres d’altitude donc je peux trouver le lieu de recul qui me permet de retrouver un véritable sens de la vie, mais le sens de ma vie autour de ma terre qui m’a vu naître et agrandir pour décider de la quitter pour l’admirer de l’autre…
Oui du vieillie, de l’ancien, de loin très loin on dirait bien l’autre côte du monde… d’autrui!
Alors je suis étrangère dans ma terre natale!
Je suis une gringa, si claro que si yo soy una gringa y quizás siempre lo seré no importa donde ni cuando!

Mon Pays, si c’était une forme ce serait un hexagone dans lequel on essaye de capter tout les jours la nature de sa nature qui la sculpte de telles façons assez fines, harmonieux et encore une fois mélodiques dans une seule chanson…
Oui, sont les enfants de la patrie qui vont construire le futur proche, le futur simple et l’avenir!
D’un de ses six points de référence on dirait que je, tu, ils…
Eventuellement on pourrait y choisir six fois ou de plus si je veux aller vers le nord où le sud, l’est, l’ouest alors
Lui, il tout sa région géographique dans laquelle les gens, les habitants parlent une seule langue: le français, en fin toutes sont réunis pour la force, la liberté et l’égalité… je crois mais je ne suis pas tout à faire sûr!
A mon avis, on partage la valorisation de la grande signification de la famille
Oui nous tous sommes rappelés, appelles et consacrées!
Nous sommes réunis aujourd’hui par hasard!
Oui, je, tu ils, on a déjà partagé notre origines fondamentales des valeurs: « la famille»
Le bleu, le blanc et le rouge;
La mère, le père et frères
Bref, selon le dictionnaire de la langue française
Le Pays est le territoire d’une nation délimitée pour des frontières terrestres maritimes.
Son pays, mon Pays, ton Pays: Trois couleurs!... Le pays d’autrui est sa patrie.
Ohlala! Patria de origen, Patrie from adoption, la Patrie d’option celui-là de mon choix
Oh Patria! Como te quiero! Te quiero tanto que no puedo dejar de quererte…por eso te dedico este canto!